Le jour J s'approchant à grand pas, il est également temps pour Anoosh de partager avec vous quelques spécialités qui vous seront proposées régulièrement.

Le voyage "méditerranéen" du jour, choisi par Anoosh, est en Grèce, avec le produit phare dont nous ne pouvons nous passer : le "Tatziki" appelé aussi dans les pays voisins "Djadjik" ou "Djadjiki".

Que vous soyez de Grèce, d'Arménie ou de Turquie, le yaourt, bien ferme et salé, correspond à un des premiers accompagnements de nos plats tels que les légumes farcis ou les viandes grillées.

Ainsi, avec Anoosh, vous allez découvrir le fameux yaourt grec et sa saveur qui va vous surprendre dans un sandwich avec du saumon ou à coté d'un plat chaud!

Le tatziki fait maison, avec des ingrédients tout frais, vous sera proposé tous les jours chez Anoosh et va créer, sans aucun doute, une sorte d'addiction avec le temps ! (croyez-en mes 29 ans d'expérience!)

Enfin n'oubliez pas que les vrais voyages se font avec les vrais produits d'origine, ainsi Anoosh vous cuisinera un tatziki, avec du yaourt qui vient, pour notre plaisir gustatif, directement de Grèce, avec tout son goût et ses rayons de soleil!

On est que début août et moi j'ai déjà commencé à essayer de trouver des moyens de prolonger l'été. Et oui, je fais partie de ces gens qui ne ratent jamais la météo d'Evelyne et qui changent d'humeur selon le temps de la journée. J'assume mon côté complètement euphorique l'été, avec le soleil, les oiseaux et les sandales...alors je trouve, chaque année, des astuces pour garder un peu plus le soleil.

Nouvelle astuce 2010 ?? Mes tomates confites bourrées de soleil et de sucre, qui vont accompagner mes salades et plats tout l'hiver !!

Ok je ne révolutionne rien mais je précise que ce sont les tomates du potager de chez ma mère et que je les ai confites moi même sans que cela me coûte 18€ les 300gr alors vous comprenez, c'est un autre bonheur !!

Pour ceux qui n'ont pas de

pas de problème, vous pouvez tout l'été acheter différentes qualités de bonnes tomates au marché près de chez vous (en grappe, bio etc…).

Voici donc la recette très simple, qui vous rappellera plus tard, cette journée ensoleillée d'été, à chaque fois que vous les goûterez.

Ingrédients :

Des tomates, plutôt petites, en grappe par exemple

Du sucre et du sel

Gousses d'ail fraîches

Des herbes de votre choix comme du thym ou du basilic

Pour les conserver un pot et de l'huile d'olive ou de tournesol selon votre choix

Préparation:

Après les avoir lavées, coupez vos tomates en quartiers et épépinez-les.

Posez les tomates (sur le côté avec la peau) sur votre la plaque de votre four.

Coupez quelques gousses d'ail en rondelle et posez un morceau sur chaque quartier. Assaisonnez enfin vos tomates de sel et d'herbes de votre choix et mettez les à "sécher" au four, à 70 degrés, pendant environs 3 heures !!!

Le plus important est effectivement la cuisson des tomates à une température très faible pendant longtemps.

Une fois vos tomates refroidies, entassez les dans le pot avec de l'huile, en gardant quelques morceaux d'ail.

Petite astuce, si vos tomates manquent un peu de goût (ce qui arrive de plus en plus souvent) rajoutez un peu de sucre. Vous pouvez également les éplucher avant la cuisson si vous n'appréciez pas la peau.

Vous pouvez déguster vos tomates tout l'hiver avec des salades, des plats mijotés ou en tapas.

Enfin vous aurez aussi l'occasion de déguster les miennes, dans la boutique Anoosh, dans mes salades, sandwichs et plats méditerranéens.

Je vous vois déjà dire «  Quoi ? Elle part au Japon, alors qu’elle ne travaille même pas  et qu’elle doit monter sa boîte !! », je vous rassure je ne pars nulle part mais ce n’est pas parce qu’on ne prend pas l’avion qu’on ne peut pas se sentir ailleurs. Il suffit de changer d’atmosphère et d’être un peu rêveuse … ou de cuisiner des bon plats d’ailleurs comme moi je l’ai fait hier.

Hier, toute la journée, j’ai rêvé d’être à Tokyo, donc, après un RDV à Paris, pour le déjeuner j’ai mangé quelques bon sushis mais mes yeux étaient sur l’assiette de mon voisin qui dévorait un tempura de crevette et de légumes.

Comme je ne pouvais pas manger en même temps des sushis et un tempura (je suis gourmande mais pas à ce point) j’ai décidé de faire moi-même mon tempura et en plus de le faire goûter à mon cher et tendre. D’autant plus que j’avais tous les ingrédients à la maison.

Cependant j’avais besoin d’un peu plus pour me sentir à Tokyo alors j’ai fait un petit tour à une superbe adresse, qui vous sera aussi utile : l’épicerie japonaise KIOKO (Merci pour l’adresse Asma !) 46 Rue des petits champs Paris 2^e.

C’est vraiment super car tous les ingrédients viennent directement du Japon et tous ces packagings de couleur où vous ne comprenez même pas un seul mot suffisent pour vous faire voyager.

De retour à la maison, j’ai bu une tasse de « geimatcha » (thé fumé au riz) et j’ai attaqué mon tempura.

Le tempura est un assortiment de beignets qui est très bon et franchement très léger pour un plat de friture. Si vous souhaitez manger des légumes autrement qu’à la vapeur, le tempura saura vous séduire à tous les coups.

C’est en plus très simple et rapide, le tout est de réussir la pâte qui fait toute la différence.

Voici la recette que j’ai, pour la pâte à frire et qui marche assez bien :

- 1 œuf

- 75gr de farine

- 25 gr de maïzena

Mélangez l’œuf avec 10cl d’eau glacée (très important) dans un bol puis à l’aide d’un tamis, incorporez la farine et la maïzena.

Il faut ensuite mélanger la pâte rapidement mais pas beaucoup. Très important : il doit même subsister des grumeaux. Gardez ensuite la pâte au frais.

Vous pouvez y tremper tous les légumes de votre choix mais aussi des poissons ou des crevettes.

Vous faites frire ensuite vos ingrédients dans de l’huile chauffée à 180°.

Enfin vous pouvez accompagner le tempura des différentes sauces japonaises qui vous plaisent.

Voilà la fin de ma journée à Tokyo qui m’a fort plu et qui m’a bien donnée envie … d’aller vraiment à Tokyo pour y manger un vrai tempura …. Décidément on ne va jamais s’en sortir !!!

J’ai passé un très bon moment hier et je dois absolument vous en parler d’autant plus que cela concerne la cuisine.

J’ai cuisiné et dégusté toute l’après midi, dans un cadre très joli et raffiné, des merveilles à base de chocolat et ce gratuitement !! Qui m’a offert ce super cadeau?... Nestlé Chocolat !!

Grâce à mes très bonnes copines, j’avais été informée fin décembre de l’atelier organisé par Nestlé Dessert, qui consistait, pendant presque 2 mois, à proposer des cours gratuits aux passionnés de chocolat. Ca a été donc le début de mon histoire d’amour avec le site internet www.latableadessert.fr, que je trouve, très pratique et pleins de conseils pour ceux qui aiment cuisiner le chocolat.

Parmi les multiples recettes (3 recettes par cours) j’ai donc choisi le cours d’hier avec… tenez vous bien :

- Muffins Framboises, coco et pépites de chocolat

- Cookies choco coco

- Madeleines aux pépites de chocolat, amendes et caramel au beurre salé

Ca a l’air bon ? Moi je vous confirme, toutes les recettes sont très bonnes (je suis en train de jeter un coup d’œil sur les muffins devant moi … oui ils sont encore là)

Je vois bien certains dire : « ohhhh !! Quel coup de pub ! » … et bien moi je vous dis que suis d’accord lorsqu’une marque fait sa pub en offrant un réel service ou cadeau (et là je dis bien un réel service et pas une petite réduction de 0,15 €) au consommateur, comme la magnifique boutique de Nestlé qui vaut vraiment le détour.

Je passe maintenant à la mauvaise nouvelle : tous les cours ont été réservés en 2 jours mais sachez que vous avez jusqu’à ce samedi pour aller boire dans ce superbe lieu « un très bon chocolat chaud » et manger des pâtisseries à 1€.

Autour de la table à dessert

40-42 Rue Vertbois Paris 3^ème

Metro : Arts et Metiers

Si mes recettes vous ont donné envie, sachez que vous pouvez retrouver toutes les recettes proposées lors des cours sur le site de la table à dessert.

Enfin j’ai piqué pas mal de flyers avec des recettes et je vous avoue hésiter vraiment entre « tartelette sablée au chocolat et agrumes » et « tartelette chocolat blanc et framboise », d’ailleurs je vais immédiatement en cuisiner cet après midi.

Pour voir les photos de l'atelier notamment pour celles qui ont cuisiné avec moi CLIQUEZ ICI

Je souhaite absolument parler de ce « problème » de riz « pilaf », que je voie de plus en plus partout et qui me tient à cœur.

Le « pilaf » est une spécialité très importante chez nous qui accompagne presque tous les plats, grands jours de fête ou non.

Beaucoup de pays du moyen-Orient cuisent le riz façon « pilaf » et effectivement c’est complètement différent du « riz blanc » consommé dans les pays de l’Asie Mineure, qui sont pourtant nos proches voisins.

Avant tout je tiens à préciser que le riz « pilaf » n’est pas du tout un genre de riz mais un plat à part entière qui doit son nom, à la façon dont on cuit le riz. Par conséquent lorsque, dans les pubs du grand monde du Marketing, on vous dit « meilleur riz pilaf » sachez que cela ne veut absolument rien dire. Le choix du riz est, certes, important mais il correspond simplement à un riz rond, de taille moyenne et peu parfumé.

Je vous avoue que je ne pourrais pas vous donner les recettes de tous les plats qui vont vous être proposés plus tard chez Anoosh mais je souhaite faire une exception pour le « pilaf » afin de mieux vous expliquer ce plat traditionnel.

Voici donc la « vraie » recette du « pilaf » (pour 4 personnes), très simple et rapide à préparer (malgré quelques subtilités)

Les ingrédients :

- 1,5 verre à eau de riz de votre choix  mais de préférence peu parfumé

(Très important : le calcul d’eau à rajouter se fait plus correctement lorsque les doses se mesurent avec un verre)

- 3 cuillères à soupe de vermicelle (ou cheveux d’ange pour certaines marques)

- 50 gr de beurre, mais vous pouvez mettre de la margarine allégée si c’est pour vous et que vous faites attention à votre ligne

- 1 cube de Knorr Bouillon poulet

- 3 verres d’eau chaude (le nombre de verre d’eau correspond toujours au double du nombre de verre de riz)

- Du sel et du poivre

Voici la cuisson qui fait devenir notre riz classique en un riz « pilaf » en quelques minutes :

Faites fondre le beurre dans votre casserole et ajoutez ensuite le vermicelle, afin de le faire dorer pendant quelques minutes.

Après avoir lavé et essoré le riz, rajoutez-le sur le vermicelle, en le remuant pendant 5 minutes.

Parallèlement, vous diluez votre cube de bouillon dans les 3 verres d’eau chaude.

Enfin vous baissez le feu et rajoutez l’eau, petit à petit, sur le riz.

Vous rajoutez du sel et du poivre selon l’envie et couvrez la casserole pour faire cuire le riz pendant à peu près 10 minutes.

Le temps de cuisson peut varier selon le riz donc regardez tout simplement si le riz à bien absorbé toute l’eau, dans ce cas là le riz est cuit. Si le riz reste encore un peu dur, vous pouvez rajouter un peu d’eau chaude.

La dernière chose importante est de faire reposer le riz. Une fois l’eau absorbée, vous enlevez le couvercle, couvrez la casserole d’un torchon et vous refermez le couvercle sur le torchon,  qui va absorber la vapeur du plat.

Après une quinzaine de minutes, vous ouvrez la casserole, et si vous voyez apparaître quelques trous sur le riz cela veut dire que votre pilaf est parfaitement réussi.

Comme moi, vous pouvez prendre le meilleur de tout et donc accompagner un très bon bœuf bourguignon de votre «pilaf ».

Si vous avez des questions ou des suggestions, n’hésitez surtout pas.

Alors il ne reste qu’une seule chose à dire :

«Pari akhorjak »*

* « Bon appétit » en arménien